noichadom a écrit:on se laisse aller parfois à sourire ou à se prendre au jeu, mais c'est bardé de cliché, planplan..
Saf a écrit:Pour les blogs de voyages je me suis rendu compte que suivre une récit en temps réel ou dans un espace temps proche c'est bcp plus intéressant que de tomber sur un blog trop ancien qui pour le coup perd bcp d'attraits et cette dimension de proximité.
Saf a écrit:Et bien vu pour les publications, l'article sur les pannes très bon!
Pour ceux qui seraient passé à coté:
http://www.truckistan.net/?p=858
Consacré à la violence qui déchire une société sans amour mais ivre de sexualité, ce livre a imposé d'emblée Selby parmi les auteurs majeurs de la seconde moitié de ce siècle. D'autres oeuvres ont suivi : la Geôle, le Démon, Retour à Brooklyn, toutes parues dans notre " Domaine étranger ". Last Exit reste le point d'orgue de ce Céline américain acharné à nous livrer la vision apocalyptique d'un rêve devenu cauchemar. Où la solitude, la misère et l'angoisse se conjuguent comme pour mieux plonger le lecteur dans ce qui n'est peut-être que le reflet de sa propre existence. Implacablement
Un millier de mousquetaires du Roi-Soleil débarquent au Siam, en Thaïlande, à l'automne 1687. Officiellement chargés de protéger le roi siamois des Anglais et des Hollandais, ils projettent de conquérir les Indes. Si les jésuites intriguent pour s'emparer du pouvoir, les soudards français préfèrent s'enivrer, trousser les dames et piller les idoles. Las de ces prétendus protecteurs. les Siamois se rebellent...
LES CAVALIERS
En Afghanistan, pays grandiose que Joseph Kessel rend aussi vivant qu'un être humain, se situe l'action d'une des aventures romanesques les plus belles et les plus féroces qui aient été contées. Les personnages atteignent une dimen-
sion épique : Ouroz et sa longue marche au bout de l'enfer... Le
grand Toursène fidèle à sa légende de tchopendoz toujours victorieux... Mokkhi, le bon sais, au destin inversé par la haine et la découverte de la femme... Zéré qui dans l'humiliation efface les souillures d'une misère qui date de l'origine des temps... Et puis l'inoubliable Guardi Guedj, le
conteur centenaire à qui son peuple a donné le plus beau des noms : « Aïeul de tout le monde»... Enfin, Jehol « le Cheval Fou», dont la présence tutélaire et « humaine » plane sur cette chanson de geste... Ils sont de chair les héros des Cavaliers, avec leurs sentiments abrupts et primitifs. Et pourtant le souffle de la fable et du mythe les anime, et nourrit le roman. C'est le merveilleux complot de la tendresse et de la dignité.
En même temps, l'aventure, la grande aventure court et chevauche d'un bout à l'autre du roman.
Elle ne s'essouffle jamais. A partir du jeu extraordinaire des steppes — le bouzkachi — tout un univers violent, puissant, impitoyable et magnifique, — avec ses méchants et ses justes, ses faibles et ses forts, ses bazars, ses foules, ses grandes routes et ses prodigieuses solitudes — imprègne chaque page d'un livre dont on ne peut se dessaisir jusqu'à la dernière image.
Cette chronique d'un squat ordinaire dans une banlieue chic des Hauts-de-Seine est un roman aux personnages hallucinants et aux histoires à rebondissements. C'est aussi un livre pratique très utile. Comment ouvrir un squat à coups de pied de biche et de «sous-marins», se faire gauler et partir en garde à vue. Comment ensuite gérer le quotidien fastidieux : les conflits sur le ménage ou les factures d'électricité, les fêtes et leurs dérapages, les consommations illicites et les bastons...
Avec, en vedettes, Papa Ours qui est punk ; Cheval qui est alcoolique ; Andrew Mack qui est anglais ; Beyrouth qui est morose ; Ron qui est russe ou presque ; Crassnall qui est énervée ; Orianne qui est un peu candide ; Félix qui est chauve; Franck qui est dépité : Jacky John qui parle latin ; JC qui fout des plats à tarte dans la gueule ; Pimprenelle qui est beatnik, un peu; Millie qui a un chien qui est Stupide ; Alexia qui est folle... et aussi un commissaire débonnaire, un médecin taiwanais, une famille de dépanneurs racistes, ainsi qu'une flopée d'agents EDF et municipaux...
Une Terre qui pourrait n'être pas la nôtre mais celle d'un univers parallèle, dans un Moyen Âge où se télescopent quatre siècles. Un patriarche légitime à Viscesment et un usurpateur à Brothe, un empereur du Graal qui rappelle beaucoup celui du Saint Empire romain germanique, des croisés qui cherchent à récupérer des « Terres saintes », une hérésie maysaléenne et des Parfaits... La guerre entre l'Orient et l'Occident...
Dans ce monde agité de convulsions sismiques, où chaque souverain magouille de son côté pour acquérir la suprématie, où les espions pullulent et où royaumes, empires, provinces et principautés ne cessent de guerroyer, Else Tage, sha-lug et espion de Gordimerle Lion, est chargé par son suzerain et maître d'infiltrer les plus hautes instances de la Rome médiévale de cet univers-là : Brothe. Intelligent, courageux et fondamentalement humain, il y réussirait presque avec les moyens du bord si la sorcellerie ne s'en mêlait pas. Car le pouvoir magique qui jaillit des puits d'Ihrian, dans les Terres saintes, et empêchait jusque-là les glaces polaires de recouvrir le monde, vient à se tarir...
Lire Glen Cook, écrit Steven Erikson, « c'est comme de lire sous peyotl une fiction sur laguerre du Vietnam ».
Oh_Marcello a écrit:Война и мир, mais je crois pas que j'arriverai au bout avant ma mort. C'est assez couillu, en cyrillique...
noichadom a écrit:
Merci Saf
J'en profite pour me la péter , il est dans la revue Bouts du Monde de ce trimestre :
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