mis à part le changement d'hébergeur d'image, je ne change rien au déroulement de mon histoire, ou de mon avenir plutôt.
et comme le cogitage sur ma personne a fini par trouver une issue, je vous dévoile les détails.
je rappel que l'on m'avais laissé comme cela
et que l'issue à été de faire ça
en fait je me suis retrouvé donneur à mon tour
avec une particularité quand même, l'organe a déjà été préparé contre le retour de l'oxydation sur sa face interne
bon maintenant pour que ce soit pas perdu, reste a trouver la perle rare qui en aura besoin et prêt à se déplacer pour le récupérer, c'est pas gagné mais pas impossible non plus.
en attendant, pas de temps à perdre sur ma personne, car en parallèle de la prise de cote et autre gabarit
et des premiers essais à blanc pour fermer cette ouverture de façon discrète, tout en facilitant la reconstruction de mon arrière
j'ai aussi subit une intervention délicate pour palier à cette réalité
ce qui a même demandé que l'on me soutienne avec des profilés temporaires
avant la découpe fatidique
qui laisse quand même entre voir l'intérieur des montants dans un état de conservation plusque raisonnable, et ça, j'en suis pas peu fière.
je suis quand même pas une épave en faim de vie!
mais je me suis fais discret sur le sujet quand il a fallu réparer cette partie trop limite pour être gardée
et trouver les compétences pour reproduire la partie malade à l'identique
et bien tout protéger
en rinçant le pinceau à l'intérieur des montants
enfin est arrivé le travail sur ce greffon tordu
débarrassé du superflu
pour mieux lui tirer sur la gueule... je ne fais que répéter ce que j'ai entendu.
et je ne sais pas qui a travaillé le plus entre le métal et celui qui tenait le marteau
mais l'ajustage a pu commencer
que du bonheur sur ce coté gauche, que des interrogations sur le coté droit
J'ai pensé qu'il ne fallait pas non plus bloquer la dessus, et j'ai été entendu.
donc le montage à blanc, avec les portières arrières calées à validé la suite.
sablage sous traité et phosphatant maison
apprêt garnissant
et place à la soudure
et comme prévu, l'autre coté a demandé plus de patience
tellement, que je n'ai que cette vue à montrer. et c'est dommage car le pointage à travers les serre joint est une discipline qui mérite d'être connue.
et pendant tout ce taf, les différent essais sur le toit donnaient la direction à prendre pour me redonner mon allure presque d'origine.
au départ, il a pas fallu longtemps trouver qu'un soyage était incontournable pour le raccord des toits.
je n'en dirai pas autant pour sa réalisation quand l'outil qui vas bien n'est pas la
et qu'il faut le faire...
... sans fraiseuse.
bien essayé aussi, de croire qu'avec des mesures précises,
et parceque l'on se sent meilleur que tout ceux qui on déjà tenté la manip, on vas pouvoir contourner la méthodologie
qui dit de le faire en deux parties
toujours est il qu'avec un peu de remise en question, la suite s'est passé beaucoup plus facilement pour le petit homme et son nombril.
il faut quand même relativiser le mot "facilement"
qui n’exclue pas quelques adaptions
un petit millimètre d'épaisseur de tôle pour fermer la section
et l'imaginaire prends forme
comme un miracle
sans oublier quelques précautions aux vibrations bien réelles
avant l'assemblage
et pour faire comme les pro, la baguette de finition
finir de boucher les jonctions
l'étain pour le plaisir
plaisir et nécessité
comme sur le soyage
et les raccords
et quand le feux du mig et la chaleur du chalumeau ne sont plus nécessaire, la protection s'impose
enfin la phase peinture, sa première couche sur les zones restaurée
le coté droit aurait du suivre. je me réjouissais de me dégourdir les pistons puisque que mon retournement sous le hangar est nécessaire pour peindre.
j'ai même entendu que le toit serait entièrement poncé et peint avant l'hiver.
mais la vie, son climat et les priorités du genre humain ont fait qu'aujourd'hui, en plein début de printemps, je n'ai pas bougé de ma place.