Je viens de lire ça... -->

Dans sa banlieue, Nic Oumouk craint autant Edukator, le héros masqué qui combat l'illettrisme, que « Yannick Noah », chef suprême du racket. Une nouvelle série drôle et intelligente, à mettre au crédit de Larcenet...
L'histoire : Nic Oumouk est un jeune des banlieues issu de l’immigration et un peu malingre. Il est élevé par sa maman et sa grand-mère depuis que son papa est « parti construire une autoroute très très loin, en Finlandalousie ! » La nuit, il aime faire des tags sur les murs, mais déteste se faire choper par Edukator, le super héros masqué qui combat l’illettrisme. « La police c’est des crétin » lui vaudra la punition de recopier 100 fois sur le mur « Je m’appelle Nic Oumouk et je suis un bourricot qui ne connaît pas le pluriel ». Il passe ses journées entre l’école et ses potes de la cité, Mouss et Jean-Bruno, rappeur nul qu’il appelle Jambonneau. En revanche, il apprécie beaucoup moins de se faire coincer et tabasser par Yannick Noah et sa bande, les rois du racket. En fait, deux solutions s’offrent à lui. Il peut devenir manager de Jambonneau, mais c’est vachement long pour que la mairie accepte de leur trouver une salle de répétition. En plus, le dernier morceau de Jambonneau, « J’éclate mon hamster contre le mur » est réellement inaudible. En deuxième choix, Nic décide donc de proposer un partenariat à Yannick Noah : ce dernier lui apprend à devenir un vrai délinquant professionnel, et en contrepartie, Nic lui reverse 54% de tout ce qu’il vole.
...et ça -->
Attila, empereur barbare, a pillé, ravagé et conquis le monde entier, même la Beauce qui n'avait pourtant pas grand-chose d'attirant à ses yeux... Son rêve d'enfant s'est donc réalisé. Mais il se retrouve vide, privé de joie, puisque sa monomanie était sa vie entière. Il décide donc de renoncer à tout, sa horde (sauf Ratko, le cul-de-jatte, qui s'attache à lui), ses richesses, et son rang. Dans son orgueil et sa frustration, il s'en prend ensuite à Dieu et à l'univers... Pour le punir, ces derniers l'obligent à vivre éternellement, jusqu'à avoir accompli quelque chose de positif.
...et j'ai bien aimé 