MaGoY & Thometymal a écrit:J'ai vu Eldorado y'a quelques temps.
Un film de Bouli Lanners vraiment superbe; trés humain, drôle, étrange parfois, trés simple et tellement touchant.
Ca m'a fait un peu penser au livre "Des souris et des hommes" de steinbeck dans le sens ou il n'y a pas de présentation des personnages dans leurs vie tout ça... On nous montre juste un passage de leur vie à partir de la rencontre des deux personnages principaux jusqu'à...
Paris Pitman Jr. vole 500 000 dollars à un riche propriétaire et les cache dans une fosse de serpents à sonnettes. Il est arrêté et emprisonné dans un forteresse au milieu du désert de l'Arizona. Là il se lie d'amitié avec d'autres détenus et en devient le leader. Le directeur de la prison essaye de s'en faire un allié pour améliorer le sort des prisonniers mais Pitman à d'autres idées en tête ...
Le scénario est une véritable mécanique d'horlogerie, qui manipule sans pitié personnages et spectateurs. Le réalisateur compose avec délectation une sarabande sarcastique, qui fait preuve d'un cynisme et d'une misanthropie férocement réjouissantes. Le "reptile" est peu charitable mais jubilatoire.
le film s'ouvre par une bande d'enfants qui s'amusent d'un scorpion livré à une colonie de fourmis rouges. À la fin, ils brûlent eux-mêmes leur jeu et en rient. En tout cas, voilà un magistral résumé du scénario où les multiples protagonistes, tous mûs par l'appât du gain ou de la vengeance, ou tout simplement égarés dans un monde qui ne les tolère déjà plus, apparaissent interchangeables : chasseurs de primes abrutis, soldats américains, bandits sans foi ni loi, soulards mexicains sadiques, conseillers militaires prussiens,...
l'itinéraire d'un homme de bonne volonté, son apprentissage de la culture indienne, ses efforts pour réconcilier des peuples antagonistes. Longtemps et abusivement considéré comme le "premier" western antiraciste, ce film à l'humainisme généreux et un peu guindé plaide avec sincérité pour une meilleure compréhension des minorités, substituant au stéréotype de l'Indien sanguinaire, celui de l'Indien noble, pacifique, au langage sentencieux, qui fera florès dans les années 1950.
En 1825, Lord John Morgan, un aristocrate anglais désœuvré, chasse du gibier aux États-Unis, en territoire sioux, assisté de trois hommes. Bientôt, ceux-ci sont tués lors d'une attaque menée par des guerriers d'une tribu sioux. Morgan est capturé et emmené à leur camp, où il est d'abord traité en esclave. Peu à peu, avec l'aide d'un autre captif, le québécois Baptiste, il se familiarise avec les usages et coutumes de la tribu, dont il apprend la langue. Initié au "rite du soleil", il devient par ses actes un guerrier à part entière de la tribu
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