S k i L O 31 a écrit:Salut pour ma part c'est " Le manuel du bonsai " par david prescott ....
Voilà chui bidouilleur en nature est aussi amoureux des bonsaïs = 26 en mon domaine
. un égoût à ciel ouvert et un champ de bataille dans lequel opère Sonchaï Jitpleecheep, fils d'un GI et d'une fille de bar thaïe.
Seul policier de Bangkok à ne pas toucher de pots-de-vin, bouddhiste pratiquant, il est chargé d'enquêter sur un meurtre peu banal : celui d'un marine américain noir retrouvé mort dans une Mercedes blindée aux portières condamnées. En la seule compagnie d'un python et d'une flopée de cobras hypervenimeux.
Salué comme une révélation par James Ellroy, ce livre, à la fois roman noir, thriller et plongée fort documentée dans les bas-fonds de Bangkok, est intelligent, drôle, original et parfaitement exotique. Mais très politiquement incorrect : même le héros consomme des substances prohibées et n'est pas effarouché par les amours tarifées...
Biographie de l'auteur
Avocat de formation, John Burdett a travaillé à Hong Kong dans un cabinet juridique britannique avant de devenir écrivain. Grand bourlingueur, il a vécu successivement en France et en Espagne avant de s'installer de nouveau en Asie. John Burdett est l'auteur de quatre romans, dont Bangkok 8 et Bangkok Tattoo, qui a paru en Angleterre en 2005.
Le monde est plein de trous, n’en déplaise aux amateurs de Google Earth. Rempli d’endroits flous, sans définition, presque sans existence officielle. Le Purgatoire ? Le vide ? Pas du tout. Ou alors pour des voyageurs sourcilleux, portés sur les lieux dûment estampillés « à voir ». Mais il se trouve des promeneurs dotés d’un œil très différent, comme l’écrivain Jean Rolin.
Par la force de son écriture et par celle de son regard, il met en évidence l’intensité troublante, mais surtout la singularité de ces espaces et de leurs occupants. Y compris les derniers des derniers, partout pourchassés, méprisés, redoutés : les chiens errants.
Ce sont eux, jaunâtres, efflanqués, retors à l’occasion, qui forment le fil conducteur de son dernier livre, magnifique ode à la liberté. Eux qui surgissent au détour de chaque chapitre, de la Thaïlande à l’Australie, du Liban au Turkménistan, aux États-Unis, à l’Égypte ou à la Tanzanie, pour donner corps à un idéal d’indépendance qui pourrait bien être celui de l’écrivain lui-même.
Les chiens errants, dits aussi « féraux » (l’auteur insiste sur cet adjectif, dérivé de l’anglais, qui renvoie à la notion de sauvagerie), sont donc présents dans chacun des courts chapitres, tous liés à des voyages.
Sur les routes, le phénomène des New Travellers. C'est une thèse sur le phénomène New Travellers en Angleterre.
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